Dans le cadre de la Quinzaine de l’Egalité des
Chances et de la Diversité,
l’Université des Femmes et Mémosource vous
invitent à
Une
Soirée d’écoute et de rencontres
“DE
MEMOIRE DE FEMMES ... VIOLENCE ET TRANSMISSION”
Le jeudi 22 novembre de 18 à 22h
Au Centre Amazone, 10 rue du Méridien à 1210 Bruxelles
Le jeudi 22 novembre de 18 à 22h
Au Centre Amazone, 10 rue du Méridien à 1210 Bruxelles
(Gare
du Nord – Métro Madou ou Botanique)
- Quelques mots d’allocution de Bruno De Lille, Secrétaire d’Etat à l’Egalité des Chances.
- Lecture de témoignages et exposition d'illustrations avec comme thématique: femmes confrontées à la violence.
- Un dialogue entre Françoise Hecq et Marie-Thérèse Coenen présentant «Violences conjugales. Approches féministes » de Françoise Hecq et Lucie Goderniaux, nouvelle publication de la Collection Agirs féministes de l’Université des Femmes.
Activité soutenue par la Fédération Wallonie-Bruxelles et par le
Secrétariat d’Etat à l’Egalité des Chances de la Région de
Bruxelles-Capitale.
Informations : Mémosource 0475 940739 – Université des Femmes 02 2293825
PAF : 5€ (entrée et accueil sandwiches) - Inscriptions souhaitées via info@universitedesfemmes.be ou par téléphone au 02 2293825
A propos des témoignages :
Durant cinq années, Mémosource a organisé un Salon de thé philosophique
dans le cadre d’un programme de cohésion sociale. Ce salon a permis de
recueillir des témoignages directs sur la condition féminine. Les textes nés de
ces rencontres brossent de façon aiguë des ressentis vécus aujourd’hui par les
femmes : une petite fille mariée de force ou une femme confrontée à une
violence conjugale qui aboutit à la perte d’un enfant… Ces témoignages seront
exprimés par une comédienne et accompagnés de quelques dessins réalisés dans ce
cadre.
«Violences conjugales. Approches féministes» de Françoise Hecq
et Lucie Goderniaux, paru dans
la collection Agirs féministes :
La violence envers les femmes, et plus particulièrement la
violence conjugale, est et reste une préoccupation essentielle du mouvement
féministe, non seulement pour dénoncer le patriarcat et la domination masculine
dans nos sociétés mais aussi pour en faire une question éminemment politique.
Depuis sa création, l’Université des Femmes se penche sur ce phénomène en y
approfondissant son analyse féministe. Militante engagée à l’Université des
Femmes depuis de nombreuses années, Françoise Hecq suit prioritairement ce
dossier, en relation avec les associations de terrain. Elle évoque dans la
première partie de l’ouvrage son expérience au sein du Collectif contre les
Violences Familiales et l’Exclusion (CVFE) de Liège. De 1998 à 2008, elle a
animé un atelier au sein de la formation LEA pour les femmes victimes de
violence. LEA a pour objectif de favoriser la réinsertion sociale et
professionnelle des femmes particulièrement éprouvées dans leur vie
personnelle.
La deuxième partie du livre présente le travail réalisé par
Lucie Goderniaux, coordinatrice de la Maison plurielle à Charleroi, dans le
cadre de son mémoire primé en 2009 par l’Université des Femmes. Elle
s’intéresse plus particulièrement à la violence conjugale avec une approche
innovante puisqu’elle envisage celle-ci dans un processus d’apprentissage
transgénérationnel et accorde une place importante aux témoignages des femmes
violentées.
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